Ils font partie des surprises chaleureuses et rafraîchissantes que nous permettent le web, j’aime beaucoup ce qu’ils font .
À propos d’aquarelle, découvrez les peintures de Tsylia (8 ans) sur musique et chanson de Philippe, son papa . Écoutez les autres morceaux qu’il a composés et interprète ici .
Quant au petit frère Loïs vous pourrez découvrir ses peintures (avec celles de sa sœur) en cliquant ici .
« Pour ce qui est des peintures de Tsylia (ma fille) et Loïs (mon fils), pas de problème pour faire un petit article. Pour l'histoire de ces "oeuvres" voila comment tout à commencé : Tsylia avait quatre ans et m'a présenté sa première peinture. J'ai trouvé dans cette peinture ce que les adultes, à mon sens, cherchent à retrouver dans leur vie d'artiste. Tsylia peignait tout simplement "à l'instinct", sans se poser de questions. Alors, je lui ai demandé de me faire une autre peinture, puis une autre, etc. Et plutôt que de les classer, sans suite, j'ai conservé soigneusement ces réalisations. J'ai fait de même avec son frère de trois ans son cadet. Aujourd'hui leur rythme de production picturale à singulièrement baissé mais je ne doute pas qu'ils rechercheront, plus tard, à «recapter» la substantifique moelle de la créativité.
Je pense que les parents qui n'ont pas pensé à regrouper les peintures de leur(s) enfant(s) n'ont pas réalisé combien l'enfance est dépolluée de tout acquis .
Ce qui était surtout étonnant, à mes yeux de père, était que Tsylia et Loïs n'ont jamais dessiné de bonhommes comme les enfants savent les faire. Ils se sont toujours sentis à l'aise dans l'art abstrait. Un peu comme si la représentation du monde ne pouvait passer que par cette forme.
Voilà ce que je pouvais dire sur cette série de peintures qui, j'en suis certain, n'est pas terminée. Elle montrera l'évolution du trait au fil du temps.
En ce qui concerne les chansons que je mets en ligne, malheureusement, je ne trouve pas le temps d'enregistrer celles qui sont prêtes à mettre en boîte (j'en ai quelques dizaines qui dorment au fond d'un tiroir).
Je dois m'y remettre … »