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«Andalousie, la Route d’Alain MARC», carnet de voyage de Pierre NAVA
Découvrez article après article en cliquant sur les vignettes ci-dessous le carnet spontané de Pierre m’accompagnant en Andalousie, et les «Petites Histoires vidéo» qu’il m’a inspirées :
Préambule
L'étape de Peniscola
Sur la route de l'Andalousie...
Au Cabo de Gata
La Isleta del Moro
Huebro, la montagne enchantée
Guadix, les maisons troglodytiques
Le rio Fardés
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Je plains beaucoup les Francs-Comtois du XXIe siècle : le bel arbre (un frêne ?) qui était situé rive droite à l'entrée de la grande vasque en bas de la source du Lison (à 100 m environ en aval du bas de la chute rive droite dans le mur en bordure du Lison), à l'endroit à peu près, où Courbet avait peint le plus connu de ses fameux tableaux de cette source (voir https://france3-regions.blog.francetvinfo.fr/vallee-de-la-loue/wp-content/blogs.dir/131/files/2015/07/sourcedulison.jpg), cet arbre magnifique donc, a été coupé !
C'était le seul arbre qui nous faisait de l'ombre à l'entrée du terre-plein d'accès à la source (sans doute pour en "dégager la vue" ? ...Mais quel four à cet endroit en plein été !), ce qui en massacre totalement et définitivement l'aspect pour tous les peintres qui s'y mettaient à l'ombre afin de peindre la source depuis le point de vue de Courbet.
Arrivée sans ombre côté rivière près de la source de la Loue (l'arbre coupé qui faisait une ombre magnifique était au centre de la photo - derrière la petite fille en rouge -).
Ainsi, l'arrivée à la vasque d'eau vive se retrouve en plein soleil et complètement à contre-jour (y compris pour les photographes) repoussant aussi de la sorte les touristes souhaitant pique-niquer à l'ombre de cet arbre disparu, tout à gauche de l'esplanade calcaire quand on est face à la source, sous les frondaisons restantes loin du Lison (ou à la seule et unique table - encore - ombragée un peu plus haut), nous repoussant à nous peintres sur le côté en amont, à un endroit où on a la cascade de profil et aucune vue sur l’exsurgence karstique.
Gustave Courbet, "Source de Lison près de Nans", (c'est un arbre comme celui qu'il a peint sur sa toile sous lequel nous nous mettions à l'ombre pour peindre la même source, qui a été abattu)...
Erreur paysagère irréversible et totalement contre-productive puisqu'au lieu de mettre en valeur ce site (même chose qu'à la source de la Loue !!!!) on lui retire de cette façon-là son charme et son mystère séculaire, en en faisant un objet de spectacle perdu dans un cirque disproportionné, où l'harmonie des masses n'est plus équilibrée par rapport à la récente époque où on la découvrait au dernier moment au milieu de sa végétation naturelle : - les "aménageurs" du site auraient-ils oublié les toiles et esquisses du grand peintre COURBET qui avait si bien traduit ces lieux (et dont ils sont si fiers par ailleurs) ?
On voit, à gauche sur cette belle photo de Jean-Jacques BERNARD (allez visiter son intéressant site en cliquant sur sa photo), le fameux arbre qui a été coupé : imaginez la même photo sans l'arbre, et vous aurez une idée de la "nudité" actuelle de cette berge, et de la disparition de son écrin de verdure...
Je sais de quoi je parle ayant participé à la mise en valeur de sites tout aussi importants, où de telles erreurs n'ont pas été commises, car nous n'avons pas seulement pensé "rapport aménagement - sécurité - point de vue - affluence et accueil touristique" mais équilibres naturels, prise en compte des valeurs culturelles et inscription du contexte esthétique dans la durée...
On ne pourra donc plus peindre à présent en groupe la cascade que sous cet angle-là et sans recul, ce qui, avouons-le, a bien moins d'intérêt que de face, où nous avons réalisé pendant des décennies de jolis motifs dont sont extraites les aquarelles ci-dessous :
Celle, ci-dessus à gauche, fait partie de mon carnet "D’hiver en été, exercices d’aquarelle autour de La Fresse, en Saugeais" (cliquer dessus, pour aller voir des extraits de ce carnet).
Ce motif fait partie des croquis de synthèse destinés à réaliser quelque chose de complexe en 10 mn maximum : un régal quand on est à l'ombre et en face de son sujet, une vraie galère dans le cas contraire (comme à présent où on ne peut même pas traduire la profondeur de la voûte, tant elle est à contre-jour et difficilement perceptible de côté) !
Le porche d'entrée de la source et sa voûte, justement, quand on pouvait se mettre en face à l'ombre de l'arbre pour la peindre...
La source du Lison toujours, (ici abondante), aquarelle réalisée il y a quelques années.
Allez, j'arrête là, des sources du Lison j'en ai des dizaines, vous comprendrez que c'est un sujet que je connais parfaitement, raison de plus pour dire en connaissance de cause que ces "aménagements" sont plutôt des calamités !
Et puis, retombées économiques m'impliquant personnellement à travers certaines structures hôtelières et touristiques de la région que je faisais "travailler" ici : j'ai emmené sur ce site des sessions entières de peintres amateurs lors des formations que j'anime, ceci depuis 40 ans tous les étés pendant plusieurs semaines d'affilée (ainsi que nombre de mes collègues, soit environ 1500 personnes depuis que je viens), où nous nous mettions toujours à l'ombre de cet arbre pour peindre en y ayant le meilleur point de vue, propageant ensuite son intérêt lors de publications, expositions, etc., en le faisant connaître et le valorisaient ainsi souvent bien loin du Doubs, je vais donc à présent amener ailleurs mes élèves, et dissuader tous mes amis de venir peindre dans cet endroit (et je ne suis même pas sûr qu'on revienne à Ornans au musée Courbet - , les deux sites majeurs du peintre ayant été abîmés par leur "mise en valeur" - on ira donc voir ses peintures au Musée d'Orsay, au Petit Palais et à Montpellier) !
La seule espérance (et possible chance) de cet endroit est de voir combien la nature est plus sage que l'homme : de petites repousses repartent du tronc, espérons qu'un (e) imbécile ne viendra pas les saccager, et si elles redonnent un bel arbre dans 20 ans, ce seront au moins nos enfants qui pourront en profiter !
J'ajoute que laisser les voitures et le (s) minibus sur le parking de ce site devenu au mois d'août un véritable four sans ombre (où on a également supprimé les petits arbres qui y poussaient - décision tout aussi "rationnelle" et intelligente -), n'incite pas plus à s'arrêter à la source du Lison que d'y venir peindre en plein soleil pour le moment !
Par contre, finissons sur un point positif : la réussite de "La maison du Lison" en bordure de ce même parking, qui est sobre, esthétique et fonctionnelle (peut-être un peu chaud l'abri pique-nique en été)...
J’aime assez le sport pour ne pas faire que le regarder à la télévision mais pour m'y adonner régulièrement dans plusieurs disciplines, ce qui m’amène à vous dire que j’aime le football même si je ne le pratique plus, puisqu’il fait partie des bons souvenirs de l’époque où je jouais défenseur dans l’équipe de mon lycée...
J’étais donc par conséquent, très heureux de voir notre équipe nationale gagner hier au soir face à la Croatie.
Je partage ainsi la joie de sa victoire avec nombre d’entrevous même si je ne suis pour rien dans ce large succès, et je n'oublie pas non plus le talent de l'équipe croate qui aurait tout à fait pu nous battre, comme nous l’avons battue !
Cependant hier au soir, devant les images provenant de l’Arc de Triomphe et des Champs Élysées, j’ai soudain pensé, devant le portrait des joueurs qui s’affichait sur l’arcade illustre, à mon grand-père maternel blessé lors de la bataille de la Marne en ce funeste mois de septembre 1914, puis décédé quelques mois plus tard de ses blessures après de terribles souffrances…
- Ainsi, ces jeunes gens (au talent indéniable que j’admire très sincèrement) seraient des héros (mots que j’ai entendu répéter plusieurs fois les concernant ce matin à la radio), au même titre que mon grand-père mort pour défendre sa patrie ?
- Quant à mon père, qui a plusieurs fois risqué sa vie lors du dernier grand conflit mondial 1939 – 1945, que penserait-il, en voyant l’édifice emblématique abritant la tombe du Soldat inconnu se revêtir d’attributs sportifs (tout aussi nobles et empreints de valeurs qu’ils soient) ? Je l’imagine se demandant (même s’ils participent à « la gloire nationale »), à quel point on peut aujourd’hui tout mélanger et manquer de clairvoyance dans l’attribution de ses symboles, au milieu d’une liesse devenue confusion générale par rapport à ce qui était autrefois références d’un peuple dans sa lucidité face aux vertus essentielles liant la mémoire de son histoire à son identité nationale, et aux notions fondamentales de son existence ou de sa survie ?
Je dis encore, « bravo les Bleus, bravo Didier », mais tout en continuant de fêter la victoire de nos sympathiques footballeurs aux formidables qualités qui les honorent, je prends un nécessaire recul, en pensant à ce que tous nos autres compatriotes exemplaires (jeunes ou moins jeunes, célèbres ou anonymes, connus et inconnus, valides ou handicapés, scientifiques ou sportifs – qu’ils soient individuels ou en équipe, médecins, explorateurs, grands navigateurs, cyclistes, alpinistes émérites, sans oublier parmi eux les « spécialistes », les sauveteurs, ou les militaires dévoués à leur mission, et aussi les courageux malades luttant pour leur survie - car ils ont également droit à de l'admiration -), méritent autant pour un jour que définitivement le qualificatif de « héros », pour avoir contribué à faire ce que nous sommes aujourd’hui collectivement et individuellement.
À bientôt dans le prochain article, avec la réussite non pas sportive, mais culturelle, de l’exposition consacrée à l’œuvre de mon père, sur le beau site touristique de Bozouls !
Intéressant en tout point de vue, ton article, Nicolas !
D'abord, parce qu'il relève de tout ce que ressentent nombre de blogueurs qui ont l'impression de prêcher dans le désert en voyant le peu de retours qu'ils ont après une dépense de temps, d'énergie et de travail considérable alors qu'ils font tout cela tout à fait gracieusement, avec la seule force de leur passion, de leur enthousiasme, de leur désintéressement, et le sens de leur partage.
S'acharner "pour rien" cela épuise, car on ne voit plus un horizon qui se nomme "espoir" (peut-être ressentez-vous aussi cela par rapport à vos publications quand vous partagez des choses qui vous ont demandé non seulement un grand engagement personnel, sont sincèrement généreuses, sans arrière-pensée de "profit", mais qui aussi, représentent une immense part de votre être profond, car partagées à partir de l'intériorité même de votre vie).
Alors ?
Oui Nicolas, tu as raison de constater que nous sommes dans une époque ou l'éphémère et le "tape-à-l’œil" (le superficiel) prédominent sur les engagements profonds et de durée, que les apparences prédominent sur la réalité, où les valeurs humaines les plus solides du "passé" se diluent dans le hourvari de l'information, ou le sens de l'image s'est banalisé dans l'overdose d'images, où les masses deviennent passives, soumises, pressées, insensibles aux notions mêmes qui ancraient autrefois le "beau" dans la durée (je veux dire le vrai dans le "beau") quand celui-ci était le fruit d'un engagement durable et total de l'être.
Paradoxe entre ce constat et les files immenses de visiteurs à l'entrée des grandes expositions à la mode, où on vient justement voir ce que ces valeurs ont produit dans l’œuvre des artistes "reconnus" et "célèbres" du passé (et parfois du présent) : on met peut-être là, le doigt sur quelque chose d'important : la communication à grande échelle !
Car c'est celle-là à laquelle nous n'avons pas accès (à qui profite-t-elle, posons-nous la question ?) qui pourrait mettre en valeur nos actions créatives les plus intéressantes et profitables pour autrui.
Aussi, sois fier de ce que tu as fait et continues de le faire : il y a des gens (même si c'est un nombre infime) qui te suivent et suivent tes publications, s'intéressent à elles, reconnaissent leur sens, et en ce qui concerne ton méritoire travail envers le Canal du Midi je t'assure qu'il n'est pas vain, car il participe à une iconographie aussi bien qu'à un "état de mémoire" qui a de la valeur comme témoignage et regard actuel s'inscrivant dans son histoire.
Rien qu'à cause de cela tu as bien fait de faire ce que tu as fait. Qu'au moins en prenant du recul et en changeant d'horizon tu sois nourri par le chemin que tu as tracé au bord du canal du Midi !
Voici la photo de la première double page du très joli article consacré à l’Alentejo dans le numéro du magazine « Prima » de ce mois-ci.
Si vous achetez la revue, ce petit reportage ne vous décevra pas : il résume les plus jolis et intéressants coins de cette région du Portugal où nous irons peindre en septembre prochain (et où il reste encore quelques places, si vous voulez venir vous êtes la ou le bienvenu - e -).
Au moment où je reprends l’avion pour y finaliser mes repérages des années précédentes, j’aime bien la manière dont sont traitées ces pages de découverte, et, de mon côté je fais mes comptes : vraiment, je ne suis pas « cher », pas plus que le voyagiste à qui je confie la logistique du stage !
Car si je compte (sur un seul voyage de repérages) les frais de route pour aller à l’aéroport (350 km A-R), de parking de mon propre véhicule à l’aéroport en mon absence + les frais de location d’une voiture sur place (je ne dis pas une « Smart » mais une voiture « normale » où je puisse ranger mon matériel professionnel et mes bagages) + les frais de déplacement sur environ 1000 à 1500 Km dans la région (péages, parking, carburant, etc.) + frais d’hôtels et restaurants (j’essaie d’en tester suffisamment pour qu’ils correspondent bien à la prestation attendue pour mes stages dans un rapport qualité – prix correct) + mes frais professionnels courants + l’amortissement du temps passé en préparation avant les repérages (je ne pars pas au hasard mais avec un dossier déjà épais) et pendant (j’y reste le temps voulu pour ne rien négliger ou j’y reviens si je n’ai pas eu la possibilité de tout vérifier dans le détail : kilométrages, temps de trajets entre un site et un autre, étude des temps morts, de séances effectives, paramètres picturaux et carnettistes, etc., eh bien, il me faut plusieurs stages pour amortir un seul repérage et retirer un petit bénéfice qui me permette de vivre une fois les charges payées (- n’ai-je pas le droit à une vie décente comme la moyenne des gens ?), tout en ne pénalisant pas les stagiaires par un coût exagéré bien sûr (j’ai testé plusieurs formules y compris en y allant avec mon propre véhicule, et les coûts sont similaires) !
Je me demande bien au passage, comment font celles et ceux de mes collègues qui proposent des prestations à moindre coût pour « s’en sortir »…à moins qu’on ne compare pas les mêmes choses, je veux bien dire « à prestations égales », car nous avons quant à nous pendant les stages un véritable « staff » et véhicule adapté à notre service concernant le voyage, des circuits (même en étoile) denses et solides quant aux hébergements et aux repas, etc.
Là-dessus, je vous dis « à très bientôt », bien amicalement.
En attendant de retrouver la motivation pour republier des articles aptes à susciter vos visites, commentaires, et un minimum d'intérêt, je profite du recul que je prends par rapport à pas mal de choses pour jeter un coup d’œil sur la profusion de démos aquarelle de toutes sortes, qui fleurissent sur Internet...
Pas grand chose de vraiment intéressant particulièrement sur le plan pédagogique, si non des banalités que tout le monde ou presque maîtrise à peu près normalement pour peu que l'on se soit mis à l'aquarelle depuis un certain temps.
Je pense personnellement que les personnes aptes à produire de vraies démos à la fois pédagogiques et picturales les gardent pour elles sans les distribuer à "tout va" et elles ont bien raison, car c'est parfois le fruit d'un travail intense, d'un véritable engagement de vie et d'un talent non négligeable qu'elles représentent, et cela a la valeur de ce qu'on ne dilapide pas, n'en déplaise à celles ou ceux qui pensent que l'art est totalement gratuit pour ceux qui en vivent et se battent pour cela !
- D'ailleurs, connaissez-vous quelqu'un (vivant de son travail), qui l'offre à tours de bras, sans aucun échange ni rétribution (si non une gloire plus ou moins imbécile ou une considération de circonstance qui n'est que flatterie de dupe) ?
Revenons en à ma recherche : parmi les vidéos intéressantes (je n'appelle pas cela une "démo" au sens où je l'entends, mais un agréable raccourci sur la façon de travailler d'un bon artiste), j'ai trouvé celle-ci qui nous enseigne cependant un tas de choses sur le savoir-faire de son auteur.
À noter :
a) - Le personnage prévu dans le dessin intial (je pense que c'en est un à droite de la cabane derrière le filet) a été supprimé lors de la réalisation (ce qui n'est pas plus mal), comme quoi on peut commencer avec une intention et finir (volontairement) différemment,
b) - Différents moments "clés" de la réalisation de l'aquarelle ne sont pas montrés (comme la mise en valeur du filet de pêche pour qu'il se détache sur le fond des arbres de la berge et de l'eau), mais sont assez faciles à comprendre,
c) - Vers la fin du travail la gouache blanche est utilisée en recouvrement semi humide pour suggérer la fumée s'échappant de derrière la cabane, comme quoi son usage passe ici très bien même si je suis pour ma part partisan du "tout aquarelle" même pour dégager de la fumée blanche sur fond sombre (il suffisait soit de la réaliser en même temps que les arbres du fond, soit par enlevé en semi humide).
Si cela vous intéresse je mettrai en avant comme cela de temps en temps quelques "démos" que je trouverai un peu plus intéressantes que les autres au cours de mon exploration du Web...
Démonstration aquarelle par Direk Kingnok.