Depuis le billet précédent de mon journal en ligne principal, vous le savez, faire chanter à mes peintures mes poèmes est la concrétisation d’un vieux rêve !
Déjà, depuis plus de cinquante ans, je cherchais à aboutir à une sorte de synesthésie liant la perception de ma peinture et de mes sculptures à la sensation du toucher et du son, et j’avais réalisé lors d’une exposition de jeunesse une « structure sonore » (mi-peinture mi-sculpture), composée d’un grand panneau métallique où j'avais soudé un grand nombre de coupelles forgées que j’avais recouvertes de bronze coloré ressemblant un peu à certaines catégories de lichens (je maniais en ce temps-là la forge, le fer et le marteau autant que l’argile, la toile, les couleurs et le pinceau), panneau qu’il suffisait de frotter du bout des doigts (ou mieux de n’importe quel objet, bout de bois ou porte-clés), pour créer de la musique concrète, toujours différente selon le sens et la pression avec lesquels on le touchait…
L’interactivité était toute simple, mécanique et intuitive, et je n’imaginais pas alors que 54 ans plus tard, j’allais avec un simple téléphone pouvoir faire « chanter » à mes peintures mes poèmes, certains d’entre eux...
La suite (avec le lien pour obtenir votre billet d'entrée gratuit pour deux personnes au prochain Salon International d'Art Contemporain de Mulhouse 2024) est ici, sur mon site principal !
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