Sur la piste des grottes ornées du Mato Grosso, avec mon copain Jean PÉRIÉ …
Je profite d’un énorme plantage de l’ordinateur, qui a complètement anéanti l’article et la vidéo que j’allais mettre en ligne sur notre étape picturale dans la vallée du Draâ au Maroc, pour vous présenter un personnage d’exception, qui en plus est un ami d’enfance .
L’expérience hors du commun qu’il est en train de préparer pour notre plus grande joie de carnettistes avides de découvertes, d’émotions, et de nouveaux espaces d‘expression, va se situer dans la droite ligne des aventures qui ont faites de tous les voyageurs découvreurs et explorateurs des êtres de légendes, parce qu’ils ont élargi notre regard en donnant une nouvelle dimension à notre horizon .
Il s’appelle JEAN PÉRIÉ, et il est justement
« Chasseur d’Horizons » !
Peut-être le connaissez-vous déjà, si vous avez lu à la fin des années 70 un best-seller des
Éditions R. LAFFONT titré « Tout l’or de l’Eldorado » ?
La vie
du chercheur d’or Georges POMMOT racontée dans cet ouvrage, c’est Jean qui l’a recueillie, écrite, traduite … C’est dire s’il connaît bien la moite pénombre des forêts amazoniennes, la boue des
marécages où se cachent anacondas et caïmans, la vie des « garimpeiros », et celle des indiens de plus en plus anéantis par les agressions de toutes sortes, à commencer par celle de la
présence de ces « mangeurs de forêt » …
Mais la richesse et l’intérêt des travaux de Jean PÉRIÉ , n’est loin s’en faut pas limitée à cela, et c’est à une existence singulière et à des découvertes passionnantes que vous allez être confrontés en mettant, (virtuellement parlant), vos pas dans les siens !
S’il y a longtemps que je voulais vous parler de lui et que je ne l’avais pas encore fait, c’est que j’attendais avec impatience de pouvoir vous entraîner dans son sillage, grâce au blog qu’il vient de créer .
Et le voilà, ce blog : il vient de le faire naître pour nous raconter, et surtout pour nous faire partager, car ils sont immenses les horizons qu’il commence à nous révéler !
Vous allez les parcourir avec Jean le paléoanthropologue qui partant de l’Oroéna polynésien va vous plonger au cœur du Mato Grosso .
Mais aussi avec Jean l’explorateur infatigable qui participe au premier contact avec les tribus d’indiens à plateaux de la jungle amazonienne .
Jean l’inventeur archéologue passionné qui découvre la piste des premiers hommes de l’Amérique du sud .
Mais surtout vous les découvrirez avec Jean mon ami d’enfance, dont l’un de nos meilleurs souvenirs est lié à ces moments magiques où nous avions à peine une dizaine d’années, et explorions déjà sans rien dire à nos parents les dédales souterrains des terriers de renards et de blaireaux, aménagés par ces opportunistes animaux dans de petits réseaux calcaires tout près de chez nous .
Nous rampions avec son frère et un autre copain à nos côtés, une bougie à la main, un canif attaché au bout d’un bâton par le premier qui avançait, sans conscience du danger que nous courrions, en nous retrouvant plus d’une fois face à un blaireau aux yeux brillants acculé au fond de son terrier, qui nous montrait ses dents terrorisé, et nous faisait battre en retraite sans chercher à l’affronter !
À présent je vous laisse cliquer ici , et comme il le dit si bien lui-même, partir « au coeur du continent sud-américain, au cœur de paysages et de vestiges témoins d'une occupation préhistorique vieille de 20 000 ans et dont j'espère vous faire partager l'extraordinaire beauté sur mon blog "chasseur d'horizons". »
Surtout, prenez le temps de lire en entier ses premiers articles et ne ratez pas la vidéo qu’il y a rajoutée
!
Quant à moi, je profite du temps où vous allez visiter le journal en ligne de mon ami Jean, pour essayer de refaire entièrement cette vidéo sur laquelle j'avais déjà tant travaillé ...
Je rajoute à cet article consacré à mon ami Jean PÉRIÉ , cette image que certains d’entre-vous connaissent déjà, extraite de mon premier Noël au Ghana en forêt, et que je lui dédie, parce qu’elle est liée pour moi à un sentiment tout à fait indicible qui est celui de la découverte de lieux, d’ambiances, d’odeurs, de couleurs, qui très loin de tout ce qu’on connaissait vont nous marquer à jamais : c’est grâce à eux, qu’on ne peut plus s’arrêter de voyager ! (Aquarelle Alain MARC extraite d’un carnet de voyage au Ghana)