Randonnée peinture et VTT au cœur du Causse Comtal .
Aujourd’hui j’ai retrouvé mon petit Jo, et nous partons avec Fred en « rando VTT » et aquarelle, à la découverte d’une secrète vallée du Causse Comtal et d’un village qui, même s’il n’est pas classé parmi les plus beaux de France a beaucoup de charme perché sur son éperon de Rocher calcaire .
La randonnée n’est pas très longue (moins de 10 km) ni difficile et peut être réalisée par un petit garçon de huit ans comme le petit Jo . (Photo Alain MARC)
Carte IGN au 25000 ème : 2438 Ouest « Estaing » .
Dénivelé négatif : 195 m
Dénivelé positif : 95 m
Temps nécessaire envisageable avec un enfant : 2 à 3 heures .
Ne pas oublier une gourde d’eau pour chacun, des fruits secs et autres petits « en-cas » énergétiques . Le casque est indispensable surtout pour la descente sur le Dourdou caillouteuse et cassante .
Sujets de peinture : innombrables dont paysages, sous-bois, cours d’eau, objets ruraux traditionnels, architecture des hameaux de départ, d’arrivée et traversés .
Voici le détail du trajet surligné en vert . Il peut être continué en boucle en rejoignant Barriac par le petit village de Maymac, mais il faut rajouter 100 de dénivelé positif .
Notre point de départ se situe à la sortie du village de Barriac situé au nord du causse et connu pour son gouffre du même nom, haut lieu de la spéléologie locale . Partir par la petite route des Escarbins (hameau peu éloigné) qui permet de traverser les bocages du Causse Comtal . En arrivant aux Escarbins quitter la route à l’entrée du village pour un chemin de terre légèrement à droite, peu après l’ancien métier à ferrer : il se prolonge par un parcours caillouteux descendant directement vers le Dourdou .
Nous découvrirons avec petit Jo et Fred dans le prochain article quelques aspects de ce trajet avec les aquarelles que j’ai pu en retirer .
En attendant voici un tombereau abandonné sur le Causse Comtal : c’était une grosse charrette tirée par des boeufs qui servait à transporter des matériaux lourds et des pierres, particulièrement pour les travaux des champs et le bâtiment . On le vidait en faisant basculer son plateau qui était fixé au timon par un axe en l’inclinant vers l’arrière . (Aquarelle Alain MARC 21 x 29,7 cm)