Si vous m’accordez une petite pause …
Juste une coupure au milieu des articles consacrés au carnet de voyage du Grand Sud marocain qui reprendront dans quelque temps : différents évènements personnels m’amènent à un peu d’irrégularité dans la mise en ligne de mes articles, m’en voulez-vous ?
Mais en contrepartie je vous prépare une rubrique nouvelle qui fera l’objet de mon prochain article, une rubrique qui ne sera alimentée qu’en fonction des circonstances qui me permettront à l’avenir de nourrir ce passionnant sujet .
Je ne vous en dis pas plus pour l’instant, mais je pense que vous serez passionnés (es) par la thématique de cette approche des techniques de l’aquarelle qui permet d’aller encore plus loin que celles du carnet de voyage, mais aussi qui s'attache à travers un concept simple et très rapide à résumer des choses immenses ...
J’illustre ci-dessous le présent article par un paysage d’hiver, car le sujet qui nous permettra dans cette prochaine parution d’aborder la technique dont je viens de vous parler (mais qui reste inscrite dans les procédés rapides des carnets de voyages et releve toujours de l’aquarelle de terrain) est de saison, ayant un rapport direct comme toute tradition carnavalesque, avec la disparition des frimas, l’allongement des heures d’ensoleillement, et l’un des plus anciens mythes du personnage d’Arlequin .
À bientôt donc pour cette nouvelle aventure !
Dans le prochain article nous allons chasser ces frimas avec un incroyable personnage dont je vous ai déjà parlé du bout des lèvres il y a déjà longtemps, mais sans approfondir . Cette fois nous l‘accompagnerons dans l’une des journées de sa très courte vie ...