voyages et aquarelle - Aquarelliste et peintre voyageur
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  • : En peinture, l'art de l'aquarelle est un mode d'expression qui va des carnets de voyages à la création de tableaux : en voici les différentes facettes inspiratrices, techniques et créatives selon Alain MARC ...
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- Les stages "carnets de voyages" sont une véritable immersion dans la pratique du carnet de voyage et de l'aquarelle sur le terrain, orientés "autonomie" ils sont ouverts aux stagiaires ayant assez de pratique pour en profiter pleinement . De la Provence au Jura Oriental et jusqu'en Andalousie, ce sont quelques destinations où vous pourrez aller en 2024...

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Andalousies

«Andalousie, la Route d’Alain MARC», carnet de voyage de Pierre NAVA
Découvrez article après article en cliquant sur les vignettes ci-dessous le carnet spontané de Pierre m’accompagnant en Andalousie, et les «Petites Histoires vidéo» qu’il m’a inspirées :

La-Barca-1b-Pierre-Nava.jpg

Préambule

La Barca 2a Pierre Nava

L'étape de Peniscola

Andalousie b Pierre Nava

Sur la route de l'Andalousie...

Moulin-b Pierre-San Jose 2

Au Cabo de Gata

Bateau Pierre Isleta 3b

La Isleta del Moro

Huebro Pierre vignette

Huebro, la montagne enchantée

Pierre-Nava-Guadix-4-copie-1

Guadix, les maisons troglodytiques

Rio Fardès

Le rio Fardés

15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 22:17

Vous pouvez visionner cette vidéo en plein écran et HD en cliquant sur "HD" et tout à côté sur le bouton d'expansion d'écran en bas à droite du lecteur après avoir lancé la lecture (appuyer sur la touche "Esc" du clavier pour en sortir).

Vous le savez depuis le dernier article : je vous emmène aujourd’hui en bateau au large de Percé, dans le parc national de l'Île Bonaventure et du Rocher Percé, lieu de prédilection des artistes, écrivains et naturalistes amateurs de splendides paysages, de riches patrimoines naturels, historiques et géologiques.
Nous faisons le tour de l’île comme nous l’avions fait pour le Rocher Percé…
L'île Bonaventure forteresse naturelle à la flore et à la faune exceptionnelles (dont sa célèbre colonie de fous de Bassan, la plus importante colonie au monde, visible à la belle saison), est une destination incontournable au Québec de même que le patrimoine bâti de l'île, dernier témoin de la vie des courageux insulaires du siècle dernier.
À l’époque du régime français (17ème siècle,) l'industrie de la pêche est florissante autour de l’île qui devient le plus important poste de pêche du golfe, avec plus de 600 pêcheurs de morue pendant la saison estivale.
Cette prospérité continuera pendant la période anglaise jusqu’à péricliter à l’arrivée des nouvelles technologies au début du XXe siècle, avec des méthodes de pêche plus modernes et la concurrence des bateaux réfrigérés permettant d'exporter directement les filets de morue frais, et non plus seulement séchés.
Après la colonisation française c’est une population surtout anglaise et irlandaise qui vit sur l’île, pêchant aux alentours, y cultivant les terres, récoltant les œufs des fous de Bassan et ramassant le bois de chauffage. On y vivait plus facilement que sur le continent grâce à de nombreux avantages locaux, mais il ne restait plus que 172 habitants sur l’île en 1831, population qui se désagrège au fil des années jusqu’à disparaître à en 1967. Les quelques propriétaires restant, (dont une colonie d'artistes arrivés dans les années 1960 qui se mêlent aux habitants de l'île pour la plupart de souche irlandaise), furent expropriés en 1970, quand le gouvernement du Québec acquit l'île en vue d'en faire un parc qui protégerait ce sanctuaire pour les oiseaux.
C'est donc l'une des plus grandes réserves ornithologiques mondiales et des plus faciles d’accès que constitue l’île, comptant plus de 280 000 oiseaux, et pas seulement marins : outre les fous de Bassan qui en font la principale attraction, près de 250 des 300 espèces d'oiseaux que l'on peut observer dans toute la Gaspésie y passent régulièrement, bénéficiant d’une absence quasi-totale de prédateurs.
Je n’aurai pas la chance d’en voir beaucoup, la colonie des fous de Bassan en particulier s’étant « volatilisée » pour des cieux plus cléments afin de passer l’hiver.
Mais je suis tout de même heureux de vous faire partager cette première découverte de l’île Bonaventure où je reviendrai certainement un jour …
Île BonaventureÉnormément de croquis et d’aquarelles à réaliser sur et autour de cette île, avec des sujets extrêmement variés, mais c’est quasi impossible depuis un bateau dans la houle !

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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 19:57

«Il est des lieux qui tirent l'âme de sa léthargie, des lieux enveloppés, baignés de mystère, élus de toute éternité»

Maurice Barrès


Vous pouvez visionner cette vidéo en plein écran et HD en cliquant sur "HD" et tout à côté sur le bouton d'expansion d'écran en bas à droite du lecteur après avoir lancé la lecture (appuyer sur la touche "Esc" du clavier pour en sortir).

 
Sans doute Percé est-il de ceux-là…
Elle est si belle la route qui de Gaspé va jusqu’à Percé, que je me suis attardé auprès de quelques jolies maisons et une chapelle aux murs de bois blancs et rouges…
Aussi il est déjà très tard quand j’arrive à Percé, avec un vent de nord glacial venu tout droit du Labrador (si ce n’est du Groenland), mais la lumière est si belle que je décide de réaliser une dernière aquarelle avant le coucher du soleil, quitte à braver cette infernale bise qui me pénètre jusqu’à la moelle des os malgré ma polaire et mon coupe-vent. 
Il faut dire que le rocher qui fait la renommée du lieu est absolument magnifique avec son obélisque détachée du monolithe et son arche gigantesque s’ouvrant par un porche de plus de trente mètres au-dessus de la mer.
Je suis arrivé ici à "l’Étretat québécoise", et si l’endroit est si renommé c’est qu’il le vaut vraiment, avec sa beauté sauvage qui attire de fort loin les artistes, poètes et écrivains depuis des siècles.
Il suffit de découvrir des oeuvres comme l’aquarelle de  Lucius O'Brien réalisée en 1882, ou des gravures telles celles de Hervey Smithen (en 1758) ou S. Owen (en 1812), pour voir combien ce lieu a fasciné les artistes dès la découverte de la Gaspésie.
Depuis, ils n’ont cessé d’y venir et même d’y vivre comme Donald Cahill dont la très intéressante peinture nous plonge dans l’histoire émouvante de cet Extrême-Orient amérindien.
Pour ma part c’est la force mystérieuse et la beauté plastique de cet immense iceberg rocheux qui me fascinent le plus : un mélange énigmatique de masses calcaires aux couleurs changeantes défiant l’apesanteur, un lien monumental entre le ciel et l’eau, une synthèse entre la nature sauvage et l’humanisation du littoral, un trait d’union en perpétuelle évolution unissant la terre et la mer, une entité faite de mythes, de légendes, de rêves mais aussi de sédiments, de fossiles, d’évènements géologiques inimaginables nous jetant au visage et au cœur quatre cent millions d’années de vie fossilisée…
En le voyant on devine aussi à travers lui l’épopée des aventures dont il fut le témoin : celles des tribus Mi’Kmaq qui pêchaient autour de lui, du passage ici des pionniers découvreurs, de Jacques Cartier, Samuel de Champlain, Nicolas Deny et tant d’autres. Ils nous redit les tempêtes et les naufrages autant que les promenades à marées basses des visiteurs émerveillées sous son arche colossale dans la douceur des soirs d’été…
Enfin, en le quittant je ne peux m’empêcher de penser à ces mots d’Eugène Achard dans «La Sorcière du Rocher Percé» :
«On a dit que cette arche avait été creusée par les eaux; explication ingénieuse et bien digne de ces savants qui prétendent tout expliquer et qui, au fond, ne savent rien»
Rocher PercéÉtrange et mystérieux Rocher Percé : c’est auprès de lui que j’éprouve le plus ce sentiment merveilleux d’arriver à étreindre le monde avec juste un bout de papier, un crayon, un pinceau et quelques couleurs…

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31 octobre 2012 3 31 /10 /octobre /2012 16:39

Disposant enfin d’une bonne connexion et d’un peu plus de disponibilité, je vous retrouve pour la suite de mon carnet de voyage au Canada en Gaspésie, dans la belle province de Québec.
J’en étais resté au phare du Cap des Rosiers où des paysages splendides m’accueillaient avec leurs falaises abruptes plongeant dans la mer, où je me dirigeais vers un parc national très connu mais désert en cette période de l’année, qui nous ouvre aujourd'hui ses portes .
En fait nous les ouvrons symboliquement car elles sont fermées (comme toutes celles des autres parcs nationaux) en ce moment : il faut si on veut randonner à l’intérieur des parc en respectant les restrictions locales hors saison d’ouverture, le faire en s’acquittant des droits d’entrée journaliers avec les bornes spéciales disposées à cet effet au départ des principaux sentiers, je respecte donc la réglementation si je veux aller plus loin (en plus on peut très bien tomber si on ne le fait pas sur un garde qui peut nous contrôler)…
Panneau de l'oursJe n'y ai pas rencontré d'ours heureusement, car ce panneau en travers du chemin dans un endroit éloigné de toute présence humaine, n’était pas là pour me rassurer…
Nous voici donc au contact d’une nature intacte où le thème principal du parc est basé sur l’harmonie entre l’homme, la terre et la mer : ici les montagnes Appalaches, qui font partie des plus anciennes montagnes du monde avec leurs roches sédimentaires, parfois volcaniques, disparaissent dans le Golfe du Saint-Laurent.
Nombreuses sont les espèces végétales et animales qu’on peut rencontrer dans le parc, où, dans un mélange de forêt boréale et de toundra alpine, se côtoient le castor, l’orignal, le lynx, et même l’ours. Je n’y vois pour ma part que de nombreux oiseaux et un petit porc-épic pas farouche du tout qui veut bien se laisser dessiner tout le temps qu’il faut, mais pas le moindre humain, c’est la nature comme je l’aime.
Cap Bon-AmiLa page de croquis du Cap Bon-Ami : j’aurais pu faire plus sombre le cap, mais il faut penser lorsqu’on réalise ce type de sujet à conserver l’équilibre des valeurs de sa page afin qu’elle reste harmonieuse une fois terminée…

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 03:10

- Avez-vous remarqué que mes articles se font plus rares depuis quelques jours ?
Si oui, en voici l’explication : il n’est pas toujours facile de se connecter depuis certains endroits reculés aussi bien au Canada qu'en France. D’ailleurs, même le portable ne passait pas là où je me trouvais ces jours-ci !
Mais je me suis arrêté sur le trajet dans une cantine en lisière de forêt où j’ai pu me connecter en attendant de pouvoir vous faire partager la suite de la Gaspésie dans des conditions de communication plus faciles que les jours passés…
Piste 1L’une des pistes empruntée ces jours-ci, paraissant sans fin au milieu de la forêt boréale : heureusement le GPS est une belle invention !
Il faut dire que ce sont quelques milliers de kilomètres (3500 km exactement en empruntant parfois des pistes où on ne voit âme qui vive de toute la journée) qui me séparent à présent de l’endroit où j’avais posté mon article précédent.
Il me faut un peu plus de disponibilité aussi, car peut-être ne pouvez-vous imaginer combien il est difficile de tout faire seul dans un voyage comme celui-là en réalisant son carnet, ses vidéos et photos, puis en mettant à jour son blog.
Il faut en même temps gérer le quotidien, atteindre les objectifs du voyage, ceux du carnet (même si je travaille vite et suis bien organisé il faut un minimum de temps pour préparer, réaliser et archiver une aquarelle, ranger et nettoyer son matériel, prendre ses notes, repartir, tracer sa route, avancer, arriver aux étapes fixées), faire les photos et les vidéos, les monter, les compresser au bon format pour les envoyer sur les plateformes dédiées (avoir donc une connexion offrant un débit assez élevé si on veut une bonne qualité d'image), écrire l’article, le finaliser avec les photos (à mettre au bon format), faire le lien avec la vidéo, vérifier que tout fonctionne et enfin publier…
Rivière MalbaieTraversée de la rivière Malbaie à son amont, sur un sommaire pont de bois, dans un environnement sauvage et préservé (nous sommes là assez loin de la Gaspésie)…
En plus tout ici est à présent fermé, je n'ai pas vu une seule infrastructure ouverte depuis plus d'une semaine (hors les grands centres d'information touristique même les parcs nationaux sont fermés), les baleines, les fous de Bassan comme les oies sauvages sont redescendus sous des cieux plus cléments, le pays se prépare à la grande offensive de l’hiver,  je ne rencontre plus que les chasseurs d'ours et d'orignaux…
Alors je vous dis «à très bientôt» en espérant que la neige déjà bien accrochée au bord des pistes ne va pas s’épaissir d’un seul coup jusqu’à les rendre impraticables sauf par les raquettes, les skis, ou les motos-neige   !
Forêt boréale pour OBRapide croquis de la piste empruntée avant-hier, où nous n’avons vu âme qui vive (nous ne savons à ce moment-là si nous allons aboutir ni à quelle heure), mais où la forêt boréale avec ses épinettes, ses mélèzes laricin, ses tapis de mousses et lichens jaunes et gris (l'un des plus vastes écosystèmes forestiers de la planète qui abrite des milliers d'espèces sauvages) nous a offert d’extraordinaires paysages …

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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 05:36

Cap au nord : nous quittons le Gîte de La Roseraie dans le brouillard et la pluie, mais tant de choses presque irréelles sont à présent à découvrir et à dessiner que je leur trouve des correspondances jusqu’au Cap des Rosiers, et je voudrais les traiter plus en dessinateur de bande dessinée que d’aquarelliste, car c’est comme si le parfum de cette fleur nous guidait tel un fil conducteur.
Sans doute parce que le voyage prend ici une autre tournure, à l’image d’un scénario où le voyageur entre en connivence avec la nature et les territoires de l’immensité.
Par exemple cette arrivée sur l’extrême pointe de Gaspésie où des paysages splendides nous attendaient avec leurs falaises abruptes plongeant dans la mer où le Saint-Laurent se noie jusqu’à l’infini.
Ici, la côte porte l’empreinte de bien des naufrages et l’évocation des rêves de marins et d’aventuriers en quête de découvertes, se mêle à la mémoire toujours présente des chasseurs de baleine…
Voyage Canada 2012 - dessin pour blogUn croquis de voyage dans un esprit « BD », peut parfaitement s’adapter à la transcription d’un bout du monde comme celui-ci…

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 01:36
 

Souvenez-vous : j’étais arrivé en pleine nuit aux portes de la Gaspésie au milieu de la tempête, dans un petit gîte qui m’accueillait avec force sorcières et créatures effrayantes…
Mais ce n’étaient que les effigie des évocations fantomatiques de la fête d’Halloween, que les canadiens vont célébrer le 31 octobre mais dont de nombreuses maisons arborent déjà le macabre mais paradoxalement "joyeux" décor !
Les propriétaires du petit gîte où nous venons d'arriver se préparent donc comme dans beaucoup d’autres familles à célébrer cette fête folklorique typiquement anglo-saxonne, et j’ai passé une excellente nuit dans cette agréable maison d'hôtes sans être dérangé par les sorcières, les fantômes, ou toute autre inquiétante entité.

Le lendemain, la tempête ne me permettant pas de sortir peindre ou croquer quoi que ce soit sous les trombes d’eau qui s’abattaient sur la région (n'oubliez pas que le mauvais temps est souvent une formidable opportunité pour le peintre carnettiste), j’ai commencé la journée en faisant connaissance avec Rejean, le maître de maison : et c’est là que j’ai découvert un personnage de grande valeur, qui fait autant honneur à ses origines amérindiennes qu’à sa nationalité québécoise et canadienne.
Vous trouverez en cliquant ici un intéressant site vous permettant de mieux connaître sa tribu d’origine : les Montagnais ou Naskapi, (très beau site également ici).

Quant au gîte La Roseraie, je vous le recommande vivement, n’oubliez pas son adresse si de Québec vous montez en Gaspésie : 525 rue de la mer, à Sainte-Flavie (tél. 1-88-418-775-1400/1-88-418-3513 et site web cliquez ici).

À présent le soleil est revenu, je vous dis «à bientôt» pour d’autres découvertes…
Régent pour montage BlogRejean, le sympathique maître de maison du Gîte de La Roseraie à Sainte-Flavie, que je remercie chaleureusement pour m'avoir accordé temps et confiance, autorisé l'interview, la peinture, et leur publication.

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 07:01

M’y voici donc en Gaspésie, en même temps que la tempête, la nuit et la grande marée !
Mais cela n’est rien à côté de l’auberge où je me suis réfugié : 

- voilà que ce sont des sorcières et des morts-vivants qui m’accueillent pour la plus inquiétante des pages de carnet !
Et puis dehors on entend dans le noir la pluie qui s’abat et le bruit des vagues du fleuve venant s’écraser dans un murmure étrange, lancinant et sourd, au pied des murs des maisons d’à côté…
HaloweenPas eu le courage d’écrire le texte : je me demande comment la nuit va se terminer !

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 06:19

Je tenais à cette page avant de partir : c’est pour elle que je suis revenu !
Revenu pour ces couleurs de feu et de braise, pour ces moments comme suspendus hors du temps . Et puis pour ces petites vaches Highlands trop jolies, qui ne demandaient qu’à poser pour moi…
Plus tard dans l’hiver vous pourrez bénéficier des « démos » de cette vidéo dans leur totalité (commentées et expliquées avec méthodes de travail), je vous reparlerai plus tard de cette opportunité sur laquelle je travaille.
En attendant je voulais vous dédier cette page avant de cette fois monter pour de bon vers le nord puisque la neige s’arrête de tomber et que les pneus sont chaussés pour affronter l’hiver canadien.
Je ne sais quand je pourrai écrire le prochain billet, mais je vous le promets : je ne vous oublie pas !
Page vache - feuille érable
Même la petite vache Highlands avait une robe blonde terre de Sienne brûlée !

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12 octobre 2012 5 12 /10 /octobre /2012 17:10

Le sac à dos était bouclé et je prenais la direction de Québec mais je suis revenu : trop d’oies sauvages passaient dans le ciel, trop de feuilles d’érable flamboyantes et multicolores s’envolaient dans le vent, les lacs étaient trop bleus, alors je suis revenu…
Je voulais avant de partir vers le nord vous faire partager une fois encore ce bonheur fou de peindre un monde vibrant de couleurs si intenses, que la palette la plus colorée n’est qu’un pâle reflet de la braise des forêts, de la flamme des érables, du profond outremer des lacs et des rivières.
J’ai donc ressorti mes pinceaux mais j’ai tant eu à faire (car les premières gelées blanchissent les prairies et la neige est annoncée pour demain) que mon montage vidéo n’est pas terminé et que je vais vous faire encore un peu attendre jusqu’au prochain clip sur mon voyage aquarellé.
En attendant voici 2 extraits de ce qui vous attend dans le prochain billet.


Forêts blog 1Flamboyant, unique, magique !
Je vous emmène à nouveau en forêt dans le prochain article juste pour la beauté des couleurs, et le plaisir de toucher de la pointe du pinceau cette harmonie bouleversante où la nature a rendez-vous avec la rose chromatique…
Voyage Canada 2012 - Feuille érable 1 pour blog - 02Vous y verrez comment j’y peins cette feuille d’érable en complément d’autres sujets bien plus vivants …

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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 13:30

Je ne pouvais quitter les Cantons de l’Est sans vous emmener en canoë sur le lac Brome, le marécage qui en filtre les eaux et la rivière qui l’alimente.

C’est un nouveau rendez-vous pictural avec l’automne du Québec, dans lequel je continue de partager avec vous cette forme d’aquarelle rapide, simple, ludique avant tout, qui nous donne le plus de plaisir sur le terrain, cette fois au milieu d'une nature paisible et grandiose, un vrai bonheur, une valeur ajoutée à la vie.

Aussi, c'est en pensant d'abord à celles et ceux d'entrevous qui ne peuvent vivre de tels moments (quelle qu'en soit la raison), que je m'applique à rendre mes montages les plus fidèles possibles aux instants que je vis ici.
À présent c’est de la façon la moins complexe que nous abordons l’eau et ses reflets : assez facile avec les eaux calmes, puisque ce n’est que l’image à l’envers du paysage qu’il suffit de traduire en respectant bien les valeurs (en plus sombre ou en plus clair des objets).
Enfin, c’est presque cela car il faut aussi penser à certains glacis, mais c’est toujours assez vite fait, surtout quand on applique le « principe des trois couleurs » (un procédé personnel dont je vous reparlerai peut-être un jour, …à ne pas confondre avec l’emploi des trois primaires dont l’usage est également intéressant mais moins en connivence avec certains sujets, par exemple celui-ci, à cause de son harmonie chromatique globale).
Au moment où vous lisez ces lignes j’ai pris la route vers Québec, cap plus au nord en remontant le Saint-Laurent, à très bientôt pour la suite…
Voyage Canada 2012 - Rivière du las Brome pour blogLe souvenir d’une rivière calme qui alimente un lac : une autre façon de pratiquer une aquarelle de voyage rapide et ludique entre technique sèche et humide avec seulement trois couleurs.

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